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encore qu'un réve
06/08/2005 00:16
Jamais j'oublierai le sourire que tu m'as fait Lorsque près de moi tu t'approchais Jamais j'oublierai le bond de mon cœur Ni ma voix secouée par les pleurs de bonheur Quand au loin je t'ai aperçu...
Je revois encore ton sourire, tes yeux À mes oreilles résonne encore le son de ta voie
Je ne voulais tellement pas que ça finisse Je serais resté toujours là à regarder tes yeux bleus...
Malheureusement c’est la que je me suis réveillé,
En m’apercevant, comme toujours, que ce moment
n’était encore qu’un rêve,
Qui bientôt, je l’espère, deviendra réalité…
Lestat
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poéme
05/08/2005 23:11
Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l’abîme, O Beauté ? Ton regard, infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l’on peut pour cela te comparer au vin.
Tu contiens dans ton œil le couchant et l’aurore, Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore Qui font le héros lâche et l’enfant courageux,
Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ? Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien ; Tu sèmes au hasard la joie et les désastres, Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.
Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques ; De tes bijoux, l’Horreur n’est pas le moins charmant ; Et, le Meurtre, parmi tes plus chères breloques, Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.
L’éphémère ébloui vole vers toi, chandelle, Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau ! L’amoureux pantelant incliné sur sa belle A l’air d’un moribond caressant son tombeau.
Que tu viennes du ciel ou de l’enfer, qu’importe, O Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu ! Si ton œil, ton sourire,ton pied, m’ouvrent la porte D’un Infini que j’aime et n’ai jamais connu ?
De Satan ou de Dieu, qu’importe ? Ange ou Sirène, Qu’importe, si tu rends, - fée au yeux de velours, Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! – L’univers moins hideux et les instants moins lourds ?
Baudelaire
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j'en réve
20/07/2005 15:16
La nuit dernière j’étais avec toi
Et tu me disais je t’aime
Tu étais là à m’ouvrir les bras
Je te serrais si fort
Je ne voulais plus te laisser
Tes beaux yeux bleu étaient si brillants
Tes douce lèvres touchaient les miennes
D’une façon si tendre
Tes main savaient bien me caresser
D’une façon si douce,
Elles le faisaient
J’étais si bien
Tu m’aimais tant
Je ne pouvais pas demander mieux
J’étais là où je voulais être
Depuis des mois
Et j e me suis réveillé
Attristé de voir que ce n’était qu’un rêve
Mais qui j’espère pourra se réalisé…
Lestat
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Sang
09/06/2005 20:13
Le sang quel beauté de la nature Un rouge si parfait et pure Une fluidité parfaite Un gout aux saveurs discretes
Le sang de la vie Rien que sa vue me donne l'envie Quasi incontrolable de le boire Boire le sang qu'une personne l'a laissé choir
Me nourir du desepoir d'autrui Vampire eternel qui hante les nuits
Lestat
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poéme
21/05/2005 23:59
Romance gothique
Dans l amour vampiresque, une morsure est si douce, si sensuelle Et l extase si reelle ? que l on en oublie la grandeur des tenebres et le gout du sang, mais l amour est dur a trouver pour un peuple si puisant Que celui des vampires ou le sexe n est qu amusement !
Et pourtant, une princesse solitaire et reveuse, N esperant qu une chose, c est d etre heureuse. Elle supplia cette lune douce et poetique, De lui offrir cette romance gothique.
Inconnu
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suicide
21/05/2005 23:43
Mes souvenirs me gênent Et me remplissent d'une profonde peine... Quoi faire, je ne sais plus... Je suis perdu...
J'ai au fond de moi une blessure, Comme une grande déchirure... Une plaie qui ne se refermera pas... Un mal qui restera en moi...
L'amour, ça me blesse profondément... Et je perds l'envie que j'avais avant... L'envie de vivre... L'envie de survivre...
Mon espoir s'enfuit... Je ne veux plus de cette vie...
Inconnue
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mourir
21/05/2005 22:20
C’est si facile, De se jeter du haut d’un toit, En oubliant tout ces malheurs, Qui ont fait que je suis là, Noyé dans la douleur, Immobile. . .
C’est si facile, De tirer à bout portant, Avec une telle volonté de mourrir, Qu’on part en emportant, Chacun de ses souvenirs, Si fragiles. . .
C’est si lache, Mais mon dieu c’est dur, De survivre à tout ça, De penser ses blessures, Avec le vice et le tracas, C’est si lache. . .
Mais c’est trop tard, Je m’en vais mourrir ce soir.
Lestat
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La rose
23/04/2005 09:21
. .¯`-.,,.¯`-.,,.-»
Quand la rose commence a fanée, Et que la vie commence à la quitter, Il est temps de l'abreuver, Mais ce n'est pas que de l'eau qu'il faut cherché, Pour cette rose désèchée.
.¯`-.,,.¯`-.,,.-»
Quand ses épines sont toutes tombées, Et que les pétales commence a pleuré, Quand ses couleurs sont tomber par terre, Qui est à la fois leurs vie et leurs enfers.
.¯`-.,,.¯`-.,,.-»
Surtout ne pas la remplacée, Si d'elle l'on veut garder, Un doux souvenir coloré...
.¯`-.,,.¯`-.,,.-»
Lestat
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La victime
23/04/2005 08:50
La victime
Seule dans un café, une jeune femme sirote son verre Son visage angélique trompe les imprudents Car cette charmante couverture cache une âme noire... C'est un livre piégé, fuyez pendant qu'il est temps
Ensorcelante, elle a repéré sa prochaine victime... Lui aussi l'a remarqué, il semble déjà conquis Elle se lève alors et part vers la sortie
Dans une ruelle sombre, il tente de la rattraper La belle a le pas rapide, il se met à courir Quand soudain il sent une main l'attirer : C'est la belle, qui arbore un étrange sourire
Elle le saisit alors à la gorge, Et dans une étreinte mortelle, boit son sang Mais soudain la belle se recule, l'air méfiant
Minuit sonne, quelque part dans une ruelle La belle vampire comprend son erreur... C'est un démon qui se tient devant elle Et voilà maintenant que sonne son heure...
Lestat
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Il aimait la mort, elle aimait la vie...
23/04/2005 07:00
Il aimait la mort, et ses sombres promesses Avenir incertain d'un garcon en detresse, Il voulait mourir, laisser partir sa peine, Oublier tous ces jours à la même rengaine...
Elle aimait la vie, heureuse d'exister, Voulait aider les gens et puis grandir en paix, C'était un don du ciel, toujours souriante, Fleurs et nature, qu'il pleuve ou qu'il vente.
Mais un beau jour, la chute commenca, Ils tombèrent amoureux, mauvais choix, Elle aimait la vie et il aimait la mort, Qui d'entre les deux allait etre plus fort?
Ils s'aimait tellement, ils auraient tout sacrifié, Amis et famille, capables de tous renier, Tous donner pour s'aimer, tel était leur or, Mais elle aimait la vie et il aimait la mort...
Si différents et pourtant plus proche que tout, Se comprenant pour proteger un amour fou, L'un ne rêvait que de mourir et de s'envoler, L'autre d'une vie avec lui, loin des atrocités...
Fin de l'histoire: obligés de se séparer, Ils s'étaient promis leur éternelle fidélité. Aujourd'hui, le garcon torturé vit pour elle, Puisque la fille, pour lui, a rendu ses ailes...
Il aimait la mort, elle aimait la vie, Il vivait pour elle, elle est morte pour lui.
Shakespeare
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