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encore un joli couple
20/08/2005 00:54
Et ce couple là vous le trouvez comment?
moi j'adore vraiment, ils sont magnifique!!!
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un joli couple
20/08/2005 00:50
Que pensez vous d'eux? Ils forme un trés joli couple non?
En tout cas moi je trouve et j'adore leur habit c magnifique!!!
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la vierge de fer
05/08/2005 22:55
C'était une statue de fer de grandeur naturelle, d'une taille un peu au dessus de la moyenne, mais posée sur un bas piédestal qui s'enfonçait ou se haussait, de manière à mettre la tête de la statue bien au niveau de la tête de l'être humain qui devait être sa victime. Cette statue représentait une femme sobrement drapée, les bras nus. Ces bras étaient articulés, assez ingénieusement aux épaules, aux coudes et aux poignets, les mains aux doigts écartés, crochus et acérés, demeurant à demi fermés, dans le mouvement de saisir violemment quelque chose ou quelqu'un ... La victime hurlant de peur se cambrait, espérant échapper à l'étreinte : quel spectacle ! ... Les gros cierges éclairaient la jeune femme. Son visage convulsé, sa bouche hurlante, ses yeux horrifiés ... Son sein gauche jaillit, splendide et lourd, jeune et gonflé, d'une blancheur délicate ... Et les contorsions de son corps flagellaient les longues mèches de sa chevelure Et le sang paru, tomba par gouttes puis ruissela ... C'est que des yeux de la statue, tout aussi lentement, sortait une autre pointe d'acier ... lentement encore, les bras de fer resserraient leur étreinte, l'un étant resté un peu au dessous de l'épaule gauche de la victime, l'autre étant remonté et lui enfonçant ses ongles dans le crâne, à travers les cheveux. La Vierge de Fer par Edmond Cazal , Extrait littéraire

La cage de fer de la Comtesse Bathory
C'était une cage cylindrique de lames de fer brillantes maintenues par des cercles. On l'eût dite destinée à quelque énorme hibou. Mais l’intérieur en était garni de pointes acérées. Le moment venu, et toujours de nuit, on hissait l'engin au plafond à l'aide d'une poulie. C'était de là que venaient les hurlements qui réveillaient les moines d'en face et suscitaient leur colère contre cette maudite demeure protestante.
Quelques minutes auparavant, Dorko avait fait dévaler l'escalier de la cave, la tirant par ses lourds cheveux défaits, à une jeune servante entièrement nue. Elle avait poussé et enfermé la paysanne dans la cage qu'on avait immédiatement hissée jusqu'à la voûte basse. C'est alors qu'apparaissaient la Comtesse. Déjà comme en transe, légèrement vêtue de lin blanc, elle venait lentement s'asseoir sur un escabeau placé sous la cage.
Dorko, saisissant un fer aigu ou un tisonnier rougi au feu, commençait à piquer la prisonnière, semblable à un grand oiseau blanc et beige, qui dans ses mouvements de recul, venait se heurter violemment contre les pointes de la cage. A chaque coup, s'épaississaient les ruisseaux de sang qui tombaient sur l'autre femme, blanche, assise impassible, regardant dans le vide à peine consciente. Ici La Comtesse Bathory par Heresie.com
La vierge de Nuremberg.
"La vierge de fer est haute de sept pieds et elle s'ouvre comme une armoire à deux battants. Le condamné était jeté dans ce coffre armé de pointes de fer à l'intérieur, lesquelles, quand les parois se refermaient, poignardaient le malheureux en vingt ou trente endroits.
Au dessous de cette machine infernale était ouverte une oubliette au fond de laquelle le cadavre tombait émietté et pourri dans un ruisseau souterrain, pour servir de nourriture aux poissons."
Cette vierge de fer fut beaucoup visitée mais elle fut totalement détruite au cours de la dernière guerre lors des bombardements aériens de Nuremberg.
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l'écrasement
05/08/2005 22:49
Dans la province de Cha-SDi à Kiam Tchéou, un concussionnaire, convaincu de malversations infâmes, avait été condamné au supplice de l'écrasement - afin, - disait la sentence dans ce style énergique barbare, de lui faire dégorger l'or et l'argent qu'il avait volés à ceux qui avaient été ses administrés. L'infortuné fut tiré un matin de sa prison et amené dans un des préaux où était déposé l'instrument du supplice, deux meules superposées entre deux vis énormes qui devaient à l'aide d'un tourniquet, être rejointes l'une sur l'autre dès que le corps du condamné par échange, serait placé entre-elles. Il expira écrasé par deux bourreaux qui se faisaient une joie d'accomplir leur oeuvre sinistre. D'horribles chiens avides de sang, tournaient avec les exécuteurs des hautes oeuvres, comme pour les exciter à en finir plus vite, pour que leur faim dévorante fût assouvie.
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le pal
05/08/2005 22:47
Le supplice du pal est sans conteste d'origine orientale. Les Assyriens avaient coutume d'empaler les corps juste en dessous du sternum. Les victimes pouvaient être vues de très loin à la façon de la croix des Romains ou des Carthaginois. Les Turcs, les Perses, les Siamois pratiquèrent aussi le supplice du pal.
Extrait d'un récit rapporté par Claude Desprez au sujet de l'empalement du Syrien Soliman, exécuté au Caire en 1800.
L'homme fut condamné, par le conseil de guerre français, à avoir les poings brûlés puis à être empalé vif. Le bourreau Barthèlemy coucha sur le ventre Soliman, tira un couteau de sa poche, lui fit au fondement une large incision, en approcha le bout de son pal et l'enfonça à coups de maillet. Puis il lia les bras et les jambes du patient, l'éleva en l'air et fixa le pal dans un trou préparé. Soliman vécut encore durant quatre heures, et il eut vécu plus si, durant l'absence de Barthèlemy un soldat ne lui eut donné à boire : à l'instant même il expira.
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écartèlement
05/08/2005 22:44
Le supplice remonte à la plus haute antiquité. Les Perses attachaient la victime avec des cordes entre deux arbres rapprochés, en se redressant, les branches emportaient les membres. L'écartèlement avec des chevaux est d'origine romaine et était utilisé pour les crimes de haute trahison. La durée du supplice variait avec la résistance de la victime. Contrairement à ce que l'on peut penser, l'écartèlement nécessite l'intervention du bourreau à la fin pour la section des membres, soit avec un couteau ou une hache. Les chevaux ne peuvent suffire à écarteler la victime ...
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Supplice de Poltrot de Méré à Paris en 1563, cliquez pour l'image entière . |
Description du supplice en 1563 de Poltrot de Méré pour avoir assassiné François de Guise par Michelet :
Quand il fut lié au poteau, le bourreau avec ses tenailles lui arracha la chair de chaque cuisse et ensuite décharna les bras. Les quatre membres ou quatre os devaient être tirés à quatre chevaux. Quatre hommes qui montaient ces chevaux, les piquèrent et tendirent horriblement les cordes qui emportaient ces pauvres membres. Mais les muscles tenaient. Il fallut que le bourreau se fit apporter un gros hachoir et à grands coups détaillât la viande d'en haut et d'en bas. Les chevaux alors en vinrent à bout. Les muscles crièrent, craquèrent, rompirent d'un violent coup de fouet. Le tronc vivant tomba à terre mais comme il n'y a rien qui ne doive finir à la longue, il fallut bien que le bourreau lui coupât la tête.
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la crémation
05/08/2005 21:00
Le bûcher, dont les souverains légalisèrent la pratique, tant elle satisfait les instincts cruels de leurs prêtres et de leurs peuples. Attachés en croix et enduits de résine, ils éclairèrent à la manière des flambeaux, quelques unes des plus belles scénes de l'orgie romaine. L'histoire humaine est jalonnée de bûchers et d'incendies, l'homme est pareil au démon à la vue du feu. (Roland Villeneuve)
Cliquez sur les petits carrés pour obtenir l'image complète.
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Crémation de captifs mexicains suivant les méthodes de l'inquisition, Amsterdam 1620 |
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Le roi Hérode fait brûler plusieurs jeunes gens avec leurs maîtres a penser... |
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Asphyxies et brûlures, persécutions religieuses |
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Persécutions religieuses XVIIème siècle |
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Fin du supplice des hérétiques |
" On commence par planter un poteau de sept ou huit pieds de haut, autour duquel laissant la place d'un homme, on construit un bûcher en carré, composé alternativement de fagots, de bûches et de paille, on laisse un intervalle pour arriver au poteau ; le bûcher est élevé jusqu'à la hauteur de la tête du patient. Le criminel arrivé est deshabillé et on lui met une chemise souffrée ; on le fait entrer et monter sur les rangs de fagots et de bois au bas du poteau. On lui attache le col avec une corde, le milieu du corps avec une chaine de fer et les pieds avec une corde, ensuite on bouche l'endroit par lequel il est entré et on y met le feu...
Il y a un moyen pour qu'il ne sente pas la douleur du feu qui s'exécute ordinairement sans qu'il s'en aperçoive : les exécuteurs se servent pour construire le bûcher, de crocs de batelier dont le fer à deux pointes, l'une droite, l'autre crochue, opuis ajustent un de ces crocs dans le bûcher en le fermant, de façon à ce que la pointe se trouve vis-à-vis du coeur. Dès que le feu est mis, on pousse fort le manche de ce croc et la pointe perce le coeur du patient qui meurt sur le champ.
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le carcan
05/08/2005 20:59
L'un des supplices-roi en matière de peines infamantes, les condamnés devaient porter le carcan durant une longue période et rester ainsi esposés au public.
Le condamné est conduit à pied, les deux mains liées en devant et attachés au cul de la charrette de l’exécuteur des basses oeuvres, jusqu'à un poteau planté dans la place publique ; à ce poteau est attachée une chaîne au bout de laquelle pend un collier de fer de trois doigts de large, ayant une charnière pour l'ouvrir. On fait entrer le col nu du patient dans ce collier qu'ensuite on ferme avec un cadenas ; parfois il porte un écriteau devant et derrière où est écrit son délit, comme banqueroutier, usurier, etc. Il reste en état aux termes de son arrêt plus ou moins d'heures, un ou plusieurs jours.
Le carcan a été aboli par la loi du 28 avril 1832.
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chevalet
05/08/2005 20:54
Le chevalet n'est pas, comme on pourrait le croire d'origine médiévale. Déjà à Rome, Cicéron le décrit : au Ier siècle av. J.-C., l'instrument ne servait pas à faire dénoncer d’éventuel complices mais agissait comme une véritable machine de mort. On ne descendait pas vivant du chevalet, d'autant qu'on labourait au même moment les corps des condamnés avec des crochets de fer. Il est l'instrument dont tous les bourreaux d'Europe connurent la pratique jusqu'à la fin du XVIIIème siècle, son application était si rapide qu'un Duc d'Oxeter ordonna de fabriquer un chevalet démontable en 1477.
Le "Cheval" parmi les anciens, était une machine de bois, faite à la ressemblance d'un vrai cheval, et ayant deux petites roues creuses ou polies aux deux extrêmités où se trouvaient des trous pour les recevoir. Sur leurs axes, lorsque quelqu'un devait être torturé sur l'instrument, on placait des cordes et ces roues tournaient. Par ce moyen la personne qui y était attachée était disloquée et distendue de diverses façons.
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bolas
05/08/2005 12:02
franchement sa fait un super effet, quand on sait bien en faire c'est super jolie. et quand on en fait a deux en faisant la méme chose c'est vraiment excellent.
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