Comme vous le savez tous noel est a nos porte, j'ai decidé de vous faire partager les différentes superstition liée cette féte!
Les enfants sont bordés dans leur lit depuis des heures, même les plus curieux, ceux qui voulaient voir le Père Noël pour de vrai, se sont assoupis. Et c'est tant mieux car dehors rôdent des esprits bien étranges.
Des croyances venant des fêtes païennes nous révèlent que la nuit de Noël est la nuit de tous les dangers comme de toutes les chances.
Le Père Noël n'a qu'à bien se tenir car il n'est pas le seul à circuler dans le ciel, la nuit du 24 décembre. Ce soir là, sorcières et démons surgissent du néant.
Les fantômes, par contre, redoutent cette date et préfèrent disparaître, mais par précaution, on laisse les portes ouvertes à minuit pour permettre aux mauvais esprits de s'en aller.
Malheur à ceux qui se déplacent et de ce fait n'assistent pas à la messe.
On raconte que plusieurs familles se sont égarées dans la nuit noire du 24 décembre et pourtant le cocher expérimenté connaissait bien la route. Le carrosse ainsi que tous les passagers ont été engloutis dans les marécages. Par la suite leurs fantômes rodaient chaque veille de Noël.
Pour ceux qui assistent à la messe, il vaut mieux rester assis, car si on sort de l'église au moment de la consécration, on voit les morts faire procession dans le village.
En effet des choses très étranges arrivent pendant que sonne minuit : à ce moment les animaux parlent le langage des hommes, les abeilles s'agitent dans leur ruche, les arbres fruitiers se couvrent de fleurs, qui disparaissent aussitôt au 12e coup de minuit.
Trouvez un noisetier, il y pousse un rameau d'or. Si on parvient à le couper entres les 12 coups de minuit, la richesse est assurée à tout jamais. Mais il faut faire attention, car si on a pas le temps de scier la branche, on rejoint les morts.
Durant cette période spéciale entres toutes, l'or est partout. Dans les cimetières par exemple. Si on creuse à minuit un trou, on trouvera une fortune en or.
Les menhirs de Carnac en Bretagne se mettent à tourner 3 fois sur eux-mêmes avant d'aller se baigner dans l'océan. Un malin bien renseigné sur les trésors enfouis sous ces pierres attend que l'une de celles-ci se déplace pour descendre dans le trou. Etourdi par le scintillement des pièces d'or, s'il s'attarde trop, le menhir rafraîchi reprend sa place, écrasant l'homme et son trésor.
Un enfant né le jour de Noël est voué à un avenir prometteur. Il sera sauvé de la noyade et de la pendaison. Il jouira toute sa vie de la chance et du bonheur.
Pendant les sept jours des saturnales qui correspondent à la période de Noël, les Romains avaient coutume de s’offrir des cadeaux. Les chrétiens ne renièrent pas cette habitude.
Au cours de ces festivités, les Romains prenaient la place de leurs esclaves. Ces derniers élisaient leur « roi ».
Ce roi présidait un grand banquet où les esclaves étaient servis par le maître.
On retrouve une survivance de cette coutume, aujourd’hui, dans l’armée britannique. En effet, le repas de Noël est traditionnellement servi aux hommes de troupes par les gradés.
Cependant, le christianisme ne pouvait conserver cette coutume romaine dans son intégralité. La fête terminée, les « rois » des esclaves étaient conduits au cirque pour y être mis à mort.
Les chapeaux en papier et les « diablotins » ou « papillotes à pétard » sont une survivance des orgies de la Rome ancienne.
Quant aux bougies et à la bûche de Noël, elles appartiennent aux traditions scandinaves. En plein milieu des hivers froids et sombres, elles apportaient un espoir de lumière et de chaleur.
Peu à peu, dans les siècles qui suivirent la conquête normande, la religion chrétienne s’implanta avec ses chants et ses fêtes de la Nativité.
Si un de leurs enfants naissait à Noël, c’était pour les Grecs, une grave raison de se tourmenter.
La fête de Noël est une occasion de se réjouir mais pas le fait d’avoir conçu un enfant le 25 mars, jour de l’Annonciation, lorsque l’Archange Gabriel avertit Marie qu’elle serait mère de Dieu.
Il fallait en effet prendre d’énormes précautions pour empêcher le bébé de devenir un Kallikantzaros, c’est-à-dire un lutin.
Il fallait l’attacher avec des tiges d’ail ou lui passer les ongles de pied à la flamme.
Ces lutins malfaisants devenaient parfois si grands que les toits des maisons leur arrivaient à la taille.
Généralement noirs et velus, ils avaient de grosses têtes, des yeux injectés de sang et des ongles recourbés.
Heureusement pour les hommes, les lutins passaient leur temps à tenter d’abattre à coup de hache l’arbre qui soutient le monde.
Chaque année, au moment où ils étaient sur le point d’y parvenir, survenait l’anniversaire de la naissance du Christ.
L’arbre se régénérait alors miraculeusement.
Les lutins entraient alors dans une terrible colère