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VIP-Blog de lestat
  • 331 articles publiés
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  • Créé le : 22/04/2005 17:53
    Modifié : 25/12/2007 13:51

    Garçon (20 ans)
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    un joli couple

    20/08/2005 00:50

    un joli couple


    Que pensez vous d'eux? Ils forme un trés joli couple non?

    En tout cas moi je trouve et j'adore leur habit c magnifique!!!








    ...

    09/08/2005 17:13

    ...


    Le monde n'est plus qu'un astre pollué et terne qui a encore le pouvoir de détruire ses destructeurs.........fait le, sauve toi de la cruauté et du non respect de l'espèce humaine






    les lois vampirique

    08/08/2005 14:10

    les lois vampirique


    Les Lois furent édictées à Rome, par Santino, vampire créé en l'an de grâce 1349, alors que la peste faisait rage, prétendant avoir eu une divine vision...

    D'après lui, ou plutôt d'après sa vision, la race des vampires devait être un fléau analogue à la peste, destiné à faire douter l'homme de la miséricorde de Dieu. Ils devenaient ainsi une malédiction, une armée de damnés, les Enfants de Satan.

    Les Lois avaient traversé les siècles et les frontières, colportées par les adeptes du clan et partout elles devaient être suivies aveuglement. Longtemps après la disparition de Santino, dont l'explication reste vague ( aurait-il sombré dans la folie, aurait-il abandonné ses Enfants, serait-il jeté dans le feu...) il restera dans l'esprit des vampires de par le monde l'ombre de la connaissance de ces lois qui continueront à être appliquées et respectées. L'obscurantisme aura su imposer ses lois aux créatures les plus impies qui soient.


    - Premièrement:

    Chaque clan doit avoir un chef qui lui seul peut octroyer le Don Ténébreux à un mortel selon les méthodes et les rites prescrits.

    - Deuxièmement:

    Le don Ténébreux ne peut être donné aux infirmes, aux estropiés, aux enfants, ni à tous ceux qui ne peuvent survivre seuls, même doués de Pouvoirs ténébreux. Il est destiné aux mortels les plus beaux, afin que l'insulte à Dieu n'en soit que plus grande.

    - Troisièmement:

    Le Don Ténébreux ne doit jamais être le don d'un vampire ancien, de peur que le sang du novice soit trop fort. Nos talents, en effet, croissent avec l'age et les anciens ont trop de force à transmettre. Les blessures, les brûlures, si elle ne détruisent pas l'Enfant de Satan, décupleront ses forces après sa guérison. Mais Satan protège son troupeau des anciens car ils deviennent presque tous fous.

    Armand pouvait d'ailleurs observer qu'il n'existait pas un vampire de plus de trois cents ans. Le diable rappelle souvent ses enfants auprès de lui. Armand devait bien comprendre, cependant, que l'effet du Don ténébreux était de toute façon imprévisible. Sans qu'on sut pourquoi, certains mortels créés pour les Ténèbres devenaient forts comme des Titans, alors que d'autres n'étaient que des cadavres animés. Il fallait donc éviter de choisir des mortels très passionnés ou doués d'une volonté indomptable tout autant que les faibles.

    - Quatrièmement:

    Aucun vampire ne peut en détruire un autre, hormis le chef du clan qui a droit de vie et de mort sur son troupeau. Il doit en outre précipiter les vieux et les fous dans le feu quand il ne sont plus capables de servir Satan comme il doit l'être. Il doit détruire les vampires trop grièvement blessés pour survivre seuls, ainsi que tous les renégats et ceux qui ont transgressé les lois.

    - Cinquièmement:

    Jamais un vampire ne révélera sa vraie nature à un mortel qu'il n'a pas l'intention de tuer, ni ne lui dévoilera l'histoire des vampires, ni ne la couchera sur le papier de peur que des mortels ne la découvrent et n'y croient. Il ne faut pas non plus faire connaître aux mortels le nom d'un autre vampire, ni l'endroit où se trouve son repaire.







    la vierge de fer

    05/08/2005 22:55

    la vierge de fer


    C'était une statue de fer de grandeur naturelle, d'une taille un peu au dessus de la moyenne, mais posée sur un bas piédestal qui s'enfonçait ou se haussait, de manière à mettre la tête de la statue bien au niveau de la tête de l'être humain qui devait être sa victime.
    Cette statue représentait une femme sobrement drapée, les bras nus.
    Ces bras étaient articulés, assez ingénieusement aux épaules, aux coudes et aux poignets, les mains aux doigts écartés, crochus et acérés, demeurant à demi fermés, dans le mouvement de saisir violemment quelque chose ou quelqu'un ...
    La victime hurlant de peur se cambrait, espérant échapper à l'étreinte : quel spectacle ! ...
    Les gros cierges éclairaient la jeune femme. Son visage convulsé, sa bouche hurlante, ses yeux horrifiés ...
    Son sein gauche jaillit, splendide et lourd, jeune et gonflé, d'une blancheur délicate ...
    Et les contorsions de son corps flagellaient les longues mèches de sa chevelure
    Et le sang paru, tomba par gouttes puis ruissela ...
    C'est que des yeux de la statue, tout aussi lentement, sortait une autre pointe d'acier ...
    lentement encore, les bras de fer resserraient leur étreinte, l'un étant resté un peu au dessous de l'épaule gauche de la victime, l'autre étant remonté et lui enfonçant ses ongles dans le crâne, à travers les cheveux.

     
    La Vierge de Fer par Edmond Cazal , Extrait littéraire




    La cage de fer de la Comtesse Bathory


    C'était une cage cylindrique de lames de fer brillantes maintenues par des cercles.
    On l'eût dite destinée à quelque énorme hibou.
    Mais l’intérieur en était garni de pointes acérées.
    Le moment venu, et toujours de nuit, on hissait l'engin au plafond à l'aide d'une poulie.
    C'était de là que venaient les hurlements qui réveillaient les moines d'en face et suscitaient leur colère contre cette maudite demeure protestante.

    Quelques minutes auparavant, Dorko avait fait dévaler l'escalier de la cave, la tirant par ses lourds cheveux défaits, à une jeune servante entièrement nue.
    Elle avait poussé et enfermé la paysanne dans la cage qu'on avait immédiatement hissée jusqu'à la voûte basse.
    C'est alors qu'apparaissaient la Comtesse. Déjà comme en transe, légèrement vêtue de lin blanc, elle venait lentement s'asseoir sur un escabeau placé sous la cage.

    Dorko, saisissant un fer aigu ou un tisonnier rougi au feu, commençait à piquer la prisonnière, semblable à un grand oiseau blanc et beige, qui dans ses mouvements de recul, venait se heurter violemment contre les pointes de la cage.
    A chaque coup, s'épaississaient les ruisseaux de sang qui tombaient sur l'autre femme, blanche, assise impassible, regardant dans le vide à peine consciente.

    Ici La Comtesse Bathory par Heresie.com



    La vierge de Nuremberg.


       

    "La vierge de fer est haute de sept pieds et elle s'ouvre comme une armoire à deux battants. Le condamné était jeté dans ce coffre armé de pointes de fer à l'intérieur, lesquelles, quand les parois se refermaient, poignardaient le malheureux en vingt ou trente endroits.

    Au dessous de cette machine infernale était ouverte une oubliette au fond de laquelle le cadavre tombait émietté et pourri dans un ruisseau souterrain, pour servir de nourriture aux poissons."

    Cette vierge de fer fut beaucoup visitée mais elle fut totalement détruite au cours de la dernière guerre lors des bombardements aériens de Nuremberg.

     







    l'écrasement

    05/08/2005 22:49

    l'écrasement


    Dans la province de Cha-SDi à Kiam Tchéou, un concussionnaire, convaincu de malversations infâmes, avait été condamné au supplice de l'écrasement - afin, - disait la sentence dans ce style énergique barbare, de lui faire dégorger l'or et l'argent qu'il avait volés à ceux qui avaient été ses administrés. L'infortuné fut tiré un matin de sa prison et amené dans un des préaux où était déposé l'instrument du supplice, deux meules superposées entre deux vis énormes qui devaient à l'aide d'un tourniquet, être rejointes l'une sur l'autre dès que le corps du condamné par échange, serait placé entre-elles. Il expira écrasé par deux bourreaux qui se faisaient une joie d'accomplir leur oeuvre sinistre. D'horribles chiens avides de sang, tournaient avec les exécuteurs des hautes oeuvres, comme pour les exciter à en finir plus vite, pour que leur faim dévorante fût assouvie.






    le pal

    05/08/2005 22:47

    le pal


    Le supplice du pal est sans conteste d'origine orientale. Les Assyriens avaient coutume d'empaler les corps juste en dessous du sternum. Les victimes pouvaient être vues de très loin à la façon de la croix des Romains ou des Carthaginois. Les Turcs, les Perses, les Siamois pratiquèrent aussi le supplice du pal.


    Extrait d'un récit rapporté par Claude Desprez au sujet de l'empalement du Syrien Soliman, exécuté au Caire en 1800.

    L'homme fut condamné, par le conseil de guerre français, à avoir les poings brûlés puis à être empalé vif. Le bourreau Barthèlemy coucha sur le ventre Soliman, tira un couteau de sa poche, lui fit au fondement une large incision, en approcha le bout de son pal et l'enfonça à coups de maillet. Puis il lia les bras et les jambes du patient, l'éleva en l'air et fixa le pal dans un trou préparé. Soliman vécut encore durant quatre heures, et il eut vécu plus si, durant l'absence de Barthèlemy un soldat ne lui eut donné à boire : à l'instant même il expira.









    écartèlement

    05/08/2005 22:44

    écartèlement


    Le supplice remonte à la plus haute antiquité. Les Perses attachaient la victime avec des cordes entre deux arbres rapprochés, en se redressant, les branches emportaient les membres. L'écartèlement avec des chevaux est d'origine romaine et était utilisé pour les crimes de haute trahison. La durée du supplice variait avec la résistance de la victime. Contrairement à ce que l'on peut penser, l'écartèlement nécessite l'intervention du bourreau à la fin pour la section des membres, soit avec un couteau ou une hache. Les chevaux ne peuvent suffire à écarteler la victime ...


     

    Supplice de Poltrot de Méré à Paris en 1563, cliquez pour l'image entière .

    Description du supplice en 1563 de Poltrot de Méré pour avoir assassiné François de Guise par Michelet :


    Quand il fut lié au poteau, le bourreau avec ses tenailles lui arracha la chair de chaque cuisse et ensuite décharna les bras. Les quatre membres ou quatre os devaient être tirés à quatre chevaux. Quatre hommes qui montaient ces chevaux, les piquèrent et tendirent horriblement les cordes qui emportaient ces pauvres membres. Mais les muscles tenaient. Il fallut que le bourreau se fit apporter un gros hachoir et à grands coups détaillât la viande d'en haut et d'en bas. Les chevaux alors en vinrent à bout. Les muscles crièrent, craquèrent, rompirent d'un violent coup de fouet. Le tronc vivant tomba à terre mais comme il n'y a rien qui ne doive finir à la longue, il fallut bien que le bourreau lui coupât la tête.








    la crémation

    05/08/2005 21:00

    la crémation


    Le bûcher, dont les souverains légalisèrent la pratique, tant elle satisfait les instincts cruels de leurs prêtres et de leurs peuples. Attachés en croix et enduits de résine, ils éclairèrent à la manière des flambeaux, quelques unes des plus belles scénes de l'orgie romaine.
    L'histoire humaine est jalonnée de bûchers et d'incendies, l'homme est pareil au démon à la vue du feu. (Roland Villeneuve)



    Cliquez sur les petits carrés pour obtenir l'image complète.



    Crémation de captifs mexicains suivant les méthodes de l'inquisition, Amsterdam 1620
    Le roi Hérode fait brûler plusieurs jeunes gens avec leurs maîtres a penser...
    Asphyxies et brûlures, persécutions religieuses
    Persécutions religieuses XVIIème siècle
    Fin du supplice des hérétiques

    " On commence par planter un poteau de sept ou huit pieds de haut, autour duquel laissant la place d'un homme, on construit un bûcher en carré, composé alternativement de fagots, de bûches et de paille, on laisse un intervalle pour arriver au poteau ; le bûcher est élevé jusqu'à la hauteur de la tête du patient.
    Le criminel arrivé est deshabillé et on lui met une chemise souffrée ; on le fait entrer et monter sur les rangs de fagots et de bois au bas du poteau.
    On lui attache le col avec une corde, le milieu du corps avec une chaine de fer et les pieds avec une corde, ensuite on bouche l'endroit par lequel il est entré et on y met le feu...

    Il y a un moyen pour qu'il ne sente pas la douleur du feu qui s'exécute ordinairement sans qu'il s'en aperçoive :
    les exécuteurs se servent pour construire le bûcher, de crocs de batelier dont le fer à deux pointes, l'une droite, l'autre crochue, opuis ajustent un de ces crocs dans le bûcher en le fermant, de façon à ce que la pointe se trouve vis-à-vis du coeur.
    Dès que le feu est mis, on pousse fort le manche de ce croc et la pointe perce le coeur du patient qui meurt sur le champ.








    le carcan

    05/08/2005 20:59

    le carcan


     

    L'un des supplices-roi en matière de peines infamantes, les condamnés devaient porter le carcan durant une longue période et rester ainsi esposés au public.

    Le condamné est conduit à pied, les deux mains liées en devant et attachés au cul de la charrette de l’exécuteur des basses oeuvres, jusqu'à un poteau planté dans la place publique ; à ce poteau est attachée une chaîne au bout de laquelle pend un collier de fer de trois doigts de large, ayant une charnière pour l'ouvrir. On fait entrer le col nu du patient dans ce collier qu'ensuite on ferme avec un cadenas ; parfois il porte un écriteau devant et derrière où est écrit son délit, comme banqueroutier, usurier, etc.
    Il reste en état aux termes de son arrêt plus ou moins d'heures, un ou plusieurs jours.

    Le carcan a été aboli par la loi du 28 avril 1832.

       








    chevalet

    05/08/2005 20:54

    chevalet


     

    Le chevalet n'est pas, comme on pourrait le croire d'origine médiévale. Déjà à Rome, Cicéron le décrit : au Ier siècle av. J.-C., l'instrument ne servait pas à faire dénoncer d’éventuel complices mais agissait comme une véritable machine de mort.
    On ne descendait pas vivant du chevalet, d'autant qu'on labourait au même moment les corps des condamnés avec des crochets de fer. Il est l'instrument dont tous les bourreaux d'Europe connurent la pratique jusqu'à la fin du XVIIIème siècle, son application était si rapide qu'un Duc d'Oxeter ordonna de fabriquer un chevalet démontable en 1477.

    Le "Cheval" parmi les anciens, était une machine de bois, faite à la ressemblance d'un vrai cheval, et ayant deux petites roues creuses ou polies aux deux extrêmités où se trouvaient des trous pour les recevoir.
    Sur leurs axes, lorsque quelqu'un devait être torturé sur l'instrument, on placait des cordes et ces roues tournaient. Par ce moyen la personne qui y était attachée était disloquée et distendue de diverses façons.








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