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CHAMBRE D'ÉTUDIANTE
03/07/2005 19:42
Julie vit dans une chambre avec sa colocataire Marie. Vers 9 heures, elle se rappelle que son livre emprunté à la bibliothèque doit être rapporté pour aujourd'hui et la bibliothèque ferme à 11 heures. Julie dit à Marie qu'elle doit sortir pour aller remettre son livre à la bibliothèque et qu'elle sera sortie pour un moment. Elle invite Marie à se joindre à elle, mais celle-ci refuse prétextant qu'elle a des cours le lendemain matin. Marie demande à Julie de fermer la lumière en sortant car elle a sommeil. Julie sort de la chambre traverse le campus pour se rendre à la bibliothèque.
Une fois arrivée elle se met à parler avec un de ses amis pendant quelques minutes pour réaliser qu'elle a oublié le bouquin à la chambre. Il est déjà 10 heures passées et elle promet à son ami de revenir rapidement. Quand elle arrive à la chambre, elle se rappelle que Marie est endormie.
Julie sait cependant exactement ou se trouve le livre, sur son bureau tout près du lit de Marie. Pour ne pas réveiller sa compagne de chambre, elle entre doucement, attrape son livre et quitte la pièce sans ouvrir la lumière. Elle retourne ensuite à la bibliothèque, rend le livre et rejoint son ami qu'elle avait laissée quelques minutes plus tôt pour aller prendre un café en sa compagnie.
Quand elle retourne à sa chambre, elle y trouve une armée de policiers et une ambulance. Un policier l'interpelle et la conduit dans la chambre. Julie voit deux choses à ce moment qui seront gravé pour toujours dans sa mémoire : Le matelas de sa colocataire et Marie, immaculé de sang ainsi quelques chose d'écrit avec un rouge à lèvre dans le miroir de sa commode :
"Es-tu contente de ne pas avoir ouvert la lumière
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les vampire a travers les ages
03/07/2005 14:10
Depuis l'Antiquité à notre époque, les vampires ont peuplé nos croyances. Mais d'où viennent ils vraiment, et comment ont ils évolué au fil du temps ?
Vampire, n.m. Mort qui, selon certaines croyances populaires, sort de son tombeau pour aller aspirer le sang des vivants. (sens propre)
Origine du Vampirisme
Le vampirisme semble être né des croyances des pays slaves, d'où est aussi originaire Vlad Tepes (Dracula). Cependant, il est possible que ce mythe trouve ses origines dans la plus haute antiquité, comme l'indiquerait un vase préhistorique découvert en Perse qui serait orné d'un dessin représentant un homme aux prises avec un être monstrueux essayant de lui sucer le sang. Il est aussi dit que les premières traces écrites mentionnant des vampires remonterait au VIème siècle avant notre ère, et seraient d'origine chinoise.
Dans l'histoire gréco-romaine, on retrouve un certain nombre de créatures suceuses de sang (voir empuses et lamies). Les grecs croyaient également que les morts “préservés de toute corruption cadavérique” pouvaient sortir de leur tombe.
Le Moyen Age : Une Période Active Au XIème siècle, des rumeurs naissent autour de personnes mortes dont le corps aurait été retrouvé intactes dans leur cercueil. Cependant, malgré la réputation de "terre des vampires" de l'Europe de l'Est, c'est en Grande Bretagne qu'apparaissent les premières manifestations vampiriques (les vampires étaient appelés “cadaver sanguisugis” (morts qui sucent le sang)). D'après deux ouvrages de l'époque, le seul moyen de réellement tuer ces vampires serait de bruler les corps après les avoir transpercé par une épée. En 1484, L'Eglise tient à donné son avis sur ce mythe : “Malleus Maleficiarum”, approuvé par le pape Innocent VIII et qui conclut à la réalité des morts-vivants. On signale de nombreux cas de vampirismes durant les épidémies de peste, ainsi “Pour éviter le contagion, on se hâte d'enterrer les victimes de la maladie sans même s'assurer de leur mort clinique.” Et lorsque l'on trouve, quelques jours plus tard dans la tombe, des cadavres parfaitement conservés mais maculés de sang, il est évident que la première hypothèse serait qu'ils sont devenus des vampires alors que ces personnes ont plus probablement agonisé dans leur cercueil et se sont blessés en essayant vainement de se libérer.
France (1440) : Gilles de Rais, bourreau d'enfants, sera associé par J.-K Huysmans dans “Là-Bas” (1891) au vampirisme. Hongrie (1611) : La Comtesse Erzsébet Bathory est accusée, lors de son procès, d'avoir enlevé et vidé de leur sang plus de 300 jeunes filles. “Toutes les chroniques s'accordent à dire qu'elle prenait un vif plaisir à boire le sang de ses victimes et même à en remplir sa baignoire, dans le but de préserver le plus longtemps possible sa jeunesse et sa beauté (...). Pendant dix ans, des dizaines de jeunes filles, enchaînées dans les cachots du château, seront torturées avec raffinement et saignées à mort”.
Epoque Moderne Depuis le XVIIème siècle, la croyance s'est étendu jusqu'en Orient (dans l'Empire austro-hongrois, en Russie, dans les Balkans et en Grèce (broucoloques), en Pologne (Upirs), en Arabie (Ghorl)). Dans tous ces pays, les morts vivants sont appelés "vrukolokas" (comme les loup garous) et ce terme désigne des personnes qui se sont suicidées ou qui ont été excommuniées et n'ont pas été enterré en terre consacrée et qui sont devenus des démons sanguinaires.
A partir du XVIIIème siècle, “les trois caractéristiques qui donnent au vampire sa spécificité sont enfin réunies : le vampire est un “revenant en corps” et non un fantôme éthéré ou un démon, il sort la nuit de sa tombe pour sucer le sang des mortels afin de prolonger son existence posthume, enfin ses victimes deviennent à leur tour des vampires après leur mort”. L'élément le plus caractéristique du vampire est la soif terrible de sang qui nourrit sa vitalité et prolonge son existence.
De Nos Jours A notre époque, peu de cas de vampirismes sont déclarés. Peut etre est-ce du au fait de la découverte de la porphyrie, ou bien de la connaissance de l'impossibilité pour un mort de revenir à la vie. Néanmoins, le mythe persiste toujours à travers le cinéma , la télévision et la littérature.
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L'atlantide
03/07/2005 14:01
Le philosophe Platon fut le premier a parler de l'Atlantide vers 350 avant Jésus Christ. Il disait que cette grande île avait disparu dans les flôts, 9000 ans auparavent. Depuis des centaines de livres ont été écrits à ce sujet.
Selon Platon, l'Atlantide était une grande puissance extraordinairement riche, située au-delà des "colones d'Hercule".
Dans la mythologie, on apprend que l'île aurait été attribué à Poséidon, dieu de la mer et des séismes. Les Atlantes, fils du dieu et de la mortelle Cléito, bâtirent sur la montagne un temple à Poséidon et le palais royal. Celui-ci, ceint d'un mur doré, était recouvert d'or et d'argent. A côté de là, deux sources, d'eau chaude et d'eau froide, alimentaient les bains et les réservoirs de la cité. Tout autour du palais, les Atlantes construisirent des temples, des jardins, des stades....
Cependant les Atlantes devinrent avide de pouvoir et tentèrent de soumettre les territoires voisins, dont Athènes. L'île finie par être engloutie par un tramblement de terre et un raz de marée.
La première source écrite de ce récit remonte à Platon, qui lui même tenait cette histoire de bouches à oreilles remontant à un athénien ayant combattu les Atlantes, lors de leur tentative domination d'Athènes. Depuis, beaucoup d'ouvrages se rapportant à la légende ont été écrit et la plupart conforte la théorie de Platon.
La localisation de l'île, par contre, continue à faire couler beaucoup d'encre. Au XVIème siècle, John Dee, astrologue de la reine Elisabeth d'Angleterre, suggéra que l'Amérique était sans doute l'Atlantide. Un siècle plus tard, le suédois Olof Rudbeck, la situa en Suède. Au fil des années, on la situa tour à tour en Australie, au Brésil, à Malte, en Angleterre...
Selon la dernière théorie en date, l'Atlantide correspondrait à l'Antarctique et les vestiges dans grandes cités seraient aujourd'hui enfouis sous les glaces.
L'autre théorie en date, est celle concernant Théra, cette terre retrouvée au sud de la Grêce. En effet, certains pensent que la description de la civilisation que fait Platon correspond à la civilisation minoene de Crête. L'île de Théra ayant été détruite par une irruption volcanique en 1500 avant Jésus Christ, pourrait être la mythique Atlantide. L'irruption pourrait très bien être le cataclysme qui aurait détruit l'île. Par de nombreux côtés, les civilisations Atlante et Minoene se rejoignent. On est donc en droit de se demander, si ce ne sont pas les mêmes civilisations.
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Jack l'éventreur
03/07/2005 12:44
Si il y a un meurtrier qui est connu, c'est bien Jack. Mais peu de gens savent vraiment qui il est, et pourquoi il est si connu. Voici l'histoire de Jack l'éventreur...
Jack l'éventreur est un des plus célèbre meurtrier alors qu'il n'a commis « que » cinq meurtres, à la fin de l'année 1888. Comment cela se fait il ? Toute sa célébrité tiens sur le fait que Jack est un illustre inconnu. Encore aujourd'hui, nous ne connaissons pas sa véritable identité, il n'a jamais été démasqué et donc attrapé. Mais qui se cache sous la peau de Jack ?
Ses cinq victimes toutes des femmes prostituées londoniennes sont : - Mary Ann Nichols, sa première victime, tuée dans la nuit du 31 août 1888 - Annie Chapman, le 7 septembre - Elizabeth Stride, le 29 septembre - Catharine Eddowes, le 29 septembre également - Mary Jane Kelly, sa dernière victime, le 9 novembre
Jack « officiait » dans le quartier de Whitechapel à Londres, quartier connu pour sa pauvreté, sa débauche et son crime. Sa première victime Mary Ann Nichols est retrouvée le vendredi 31 août 1888, la gorge tranchée de l'oreille droite à l'oreille gauche, et ses intestins vidés sur son abdomen.
C'est alors le début des crimes abominables de celui que l'on surnommera Jack l'éventreur. Mais ce n'est pas le nom qu'il se donne. Ce surnom est dû à un journaliste du Star, nommé Bert, qui pour augmenter les ventes, publiait des fausses lettres signées du nom de Jack l'éventreur, en relation avec la façon dont il éventrait ses victimes.
Sa deuxième victime, Annie Chapman, est retrouvée morte le 7 septembre. Elle aussi avec sa gorge tranchée et ses intestins sur son épaule. De plus son corps avait été mutilé. S'en suivent les meurtres d' Elizabeth Stride et de Catharine Eddowes, le 29 septembre et de Mary Jane Kelly, sa dernière victime, le 9 novembre. A chaque meurtre, les filles sont retrouvées un peu plus mutilées. Mais c'est avec Mary Jane Kelly que l'horreur est la plus présente, elle a été littéralement éventrée et son cœur ne sera jamais retrouvé.
Parmi les lettres que Bert publia pour se faire passer pour Jack, la police de Londres reçut une petite boite de carton. A l'intérieur, il y avait la moitié d'un rein humain et la fameuse lettre "From Hell". Le message de la lettre était le suivant :
From hell. Mr Lusk, Sor I send you half the Kidne I took from one woman and prasarved it for you tother piece I fried and ate it was very nise. I may send you the bloody knif that took it out if you only ware a while longer
signed Catch me when you can Mister Lusk
Traduction française :
De l'enfer. M. Lusk, Je vous envoie la moitié d'un rein que j'ai pris d'une femme et préservé pour vous, j'ai fait frire l'autre morceau et je l'ai mangé, il était très bon. Je puis vous envoyer le couteau sanglant qui l'a enlevé...
Signé Attrapez-moi quand vous pouvez Mr Lusk
Beaucoup de choses étranges concernent Jack. Tout d'abord les jours de ses meurtres, il les effectuait suivant le calendrier lunaire. De plus, la manière dont il éventrait ses victimes faisait penser à une rigueur médicale. On pensa longtemps que ce pouvait être un médecin. Cependant, la manière dont il a complètement éviscéré et démembré sa dernière victime laisse perplexe.
Jack laisse beaucoup de questions sans réponses, pourquoi s'est il arrété avec son cinquième meurtre ? Est-il mort après sa cinquième victime ? Quels étaient ses motifs ? Pourquoi n'a-t-il tué que des prostituées du quartier de Witechapel ? Pourquoi les éventrait il, et surtout pourquoi à chaque meurtre, il augmentait en mutilation ? Il reste encore tant de questions à élucider.
Parmi les plus importants, celle de son identité. Voici la liste des nombreux suspects : - le Prince Albert Victor, prince de Galles, fils et héritier du Roi d'Angleterre, qui laisserait entrevoir la piste du complot - Sir William Gull, le chirurgien de l'affaire - Montague John Druitt, le seul dont la mort concorde avec la fin des crimes - Dr Roslyn Dontsan, un médecin sataniste - Aaron Kosminski, qui fut identifié par un témoin qui a refusé de témoigner - James Maybrick, aurait été suspecté après que l'on ai découvert son journal intime, où il prétendait être Jack l'éventreur (sans aucun doute une mise en scène) - Walter Sickert, suspecté en octobre 2002, par la romancière Patricia Cornwell, qui déclarait avoir démasqué Jack. Dans son livre Portrait of a killer, Jack the Ripper, case closed.
De nombreux ouvrages et films ont été écrits sur ce sujet. Jack l'éventreur continu de nos jours à intriguer...
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Amityville
02/07/2005 18:39
En 1974 (le 13 novembre exactement), un jeune homme de 24 ans, Ronald DeFeo, assassine de sang froid à 3h15 du matin, les 6 membres de sa famille pendant leur sommeil. Ainsi commence l'histoire d'Amityville, la Maison du Diable.
Amityville est une petite ville des USA, à Long Island dans l'état de New York, d'apparence plutôt tranquille, jusqu'à cette nuit de novembre 1974, où au 112 Océan Avenue, DeFeo assassine toute sa famille à l'aide d'un fusil de calibre 35. Durant l'audience préliminaire qui eu lieu le 22 septembre 1975, Ronald DeFeo déclara "n'avoir pas pu contrôler une pulsion commandée par une entité" qu'il appela le Diable, lui même. Il plaida la folie et fut condamné à six peines consécutives d'emprisonnement de vingt-cinq ans à la prison spéciale de Danemorra U.S.A.
La maison fut alors mise en vente et un couple, Georges et Kathleen Lutz, ainsi que leurs trois enfants, y emménagèrent peu de temps plus tard. Ayant été informé de la tragédie, la famille fit appel à un exorciste, le père Mancuso. Mais à peine celui-ci eut-il franchit la porte d'entrée qu'il entendit une voix masculine et parfaitement claire lui intimer l'ordre de partir. Comprenant que cette entité était beaucoup trop forte pour que quiconque puisse la chasser, il quitta la maison en laissant les Lutz à leur propre sort.
Commença alors pour la famille un séjour de cauchemard.
Dès les deux premières nuits, ils entendirent des sons étranges, mais le plus troublant est l'heure à laquelle ils les ont entendu, 3h15 précise, heure du massacre de la famille DeFeo. Mais le cauchemard ne fait que commencer. Suite à ces deux nuits de terreur, Georges vérifia que toutes les portes et fenêtres soient solidement fermées. Il fit même installer une barre de fer pour consolider la porte d'entrée. Hélas, dans la nuit, les bruits reprirent de plus belle, toujours plus étranges et angoissants. Lutz se leva et fut surpris de voir la porte d'entrée grande ouverte, et plus horrible, celle-ci avait été crocheté de l'intérieur. Quant à la barre de fer, elle gisait complètement tordue à côté de la porte.
Cependant, malgré toutes ces péripéties, les Lutz décidèrent de tenir bon et de rester. C'est alors que quelques temps plus tard, toujours en pleine nuit, en se réveillant, Lutz eu l'effroyable surprise de voir sa femme en train de léviter au dessus du lit avec un visage crispé d'horreur, dont elle ne se séparera que 6 heures plus tard.
Après cette lévitation, tout s'arrèta brutalement. Il n'y eu plus ni bruits, ni phénomènes paranormaux. Mais ce n'est pas terminé... en effet, quelques jours plus tard, alors que Kathleen était à la fenêtre, elle aperçu deux yeux rouge sang qui la fixaient. La maison se déchaîna alors de plus belle, bruits et cris de plus en plus fort, boue verte qui dégoulinait des murs et du plafond, serrure pleine d'une étrange substance noirâtre. Prise de panique, la famille s'enfuit.
Les Lutz n'auront habité la maison que 28 jours avant de la fuir effrayé par tant de phénomènes paranormaux. De nos jours, la maison est habitée par de nouveaux occupants qui ne cessent de répéter que depuis leur installation rien d'étrange ne s'est produit.
La maison du diable a beaucoup fait parler d'elle, les Lutz ont d'ailleurs écrit leur témoignage dans l'ouvrage : The Amityville Horror, paru en 1977. Depuis, de nombreux films ont vu le jour sur ce sujet : - The Amityville Horror (1979), réalisé par Stuart Rosenberg, raconte l'histoire réelle vécue. - Amityville 2 The Possession (1982), réalisé par Damiano Damiani. - Amityville 3D: The Demon (1983), réalisé par Richard Fleischer. - Amityville 4 : The Evil Escapes (1989), réalisé par Sandor Stern. - The Amityville Curse (1990), réalisé par Tom Berry. - Amityville 1992 - It's About Time (1992), réalisé par Tony Randel. - Amityville - A New Generation (1993), réalisé par John Murlowski. - Amityville Dollhouse (1996), réalisé par Steve White. - The Amityville Horror (2005), réalisé par Andrew Douglas.
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origine des superstition les plus connues
02/07/2005 14:12
Passer sous un échelle:
Cette superstition remonte à la magie antique. Une échelle appuyée contre un mur ou autre chose formait un triangle ce qui rappelait le triangle emblématique de la sainte Trinité. Traverser ce triangle relevait du sacrilège et on se retrouvait poursuivi par une malédiction. Au XVIIe siècle en France et en Angleterre, la loi obligeait les condamnés à mort à passer sous une échelle, alors que le bourreau lui la contournait.
Le fer à cheval:
Cette croyance est difficile a dater mais elle trouve son origine, dans le fait que sa forme rappelle un peu celle d’un croissant de lune du temps où se pratiquait le culte de la lune. Le fer à cheval était considéré comme un objet détenant des pouvoir bénéfique lui venant de la lune.
Croiser les doigts:
Cette croyance remonte aux origines du christianisme, où les 1er chrétiens en butte aux persécutions, croisaient les doigts comme signe de reconnaissance.
Le chiffre 13:
Dans le bible, dans la dernière Cène, sont réunis Jésus et ses 12 apôtres, parmi lesquels se trouvait le traître Judas. Mais aussi:
- dans l’ancienne Babylonie, certaines cérémonies religieuses demandaient qu’on choisisse et réunisse 13 personne pour représenter les dieux, l’une d’entre elles était mise à l’écart et mise à mort à la fin de la cérémonie.
-en Babylonie, le 13éme mois d’une année bissextile s’apparentait au corbeau, animal maléfique.
Toucher du bois.
Cela remonte a l’antiquité. On considérait que le bois possédait un grand pouvoir magnétique.
Les Mazdéens touchaient du bois pour se mettre sous la protection d’Altar, génie du feu. La puissance protectrice d’Altar, croyait-on était déjà tout entière renfermée dans les veines du bois…
Le sel par dessus son épaule:
C’est la croyance que renverser du sel porte malheur qui donna naissance a son corollaire. S vous renverser une salière, vous devez impérativement jeter du sel par dessus votre épaule gauche pour annulé la malchance. Par prolongement, les gens n’ont pas tardé à penser que jeter du sel par dessus l’épaule gauche portait chance. Au moyen-age , le sel servait à conjurer le mauvais sort. Il fallait en mettre dans chaque coin de la maison. aujourd’hui, pour les Danois, faire tomber du sel porte chance. En Espagne, trouver du sel dans le lit conjugal indique un conflit. Pour connaître le sexe de votre futur enfant, mettez du sel sur votre poitrine; s’il fond ce sera une fille, sinon un garçon. Si vous n’en avez plus, n’en demandait pas a votre voisin cela porte malheur!
Casser un miroir:
Les miroir étaient connus pour entre le refuge des esprits, et en casser un pouvait libérer un démon captif.
Le trèfle a 4 feuilles:
Il est lié à l’Irlande et à son patron St Patrick. Il symbolise la conscience de ce peuple et aussi la chance et l’argent. Si vous en trouvez un, glissez-le dans la poche de l’être convoité, il ne pourra pas vous résister.
En Angleterre, le trèfle a 5 feuille, encore plus rare, permet de gagner gros à la loterie, mais aux Etats-Unis, il porte malheur. Enfin, un trèfle sous votre oreiller éloignera les fantômes.
Pour le grec Sophode, cette plante renfermait un venin terrible alors que pour le romain Pline, elle devenait l’antidote à la morsure des serpents. Si les feuilles du trèfle s’élèvent, c’est signe d’orage.
info nessecaires prise sur le site : sorcellerie.net
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Lestat et Claudia
30/06/2005 20:06
Sa faisai longtemp que je n'avais pas mit de photo du film "Entretien avec un vampire".
Je la trouve joli celle la en plus c'est mes deux vampires préférés de la chronique des vampires.
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Casse tête
12/06/2005 19:06
Casse tête posé par Albert Einstein (selon lui 98 % des gens sont incapables de le résoudre et de l'expliquer)
Il y a 5 maisons alignées de couleurs différentes.
Dans chaque maison vit une personne de nationalité différente.
Chaque personne boit une boisson, fume un type de cigarette et élève un animal différent.
Vous devez trouver qui élève les poissons ? Indices :
1) l'anglais vit dans la maison rouge -
2) le Suédois élève des chiens
3) Le danois boit du thé
4) La maison verte est juste à gauche de la maison blanche -
5) Le propriétaire de la maison verte bois du café -
6) Le fumeur de Pall Mall élève des oiseaux
7) Le propriétaire de la maison jaune fume des Dunhills -
8) L'homme qui vit dans la maison du centre boit du lait -
9) Le Norvégien vit dans la première maison -
10) L'homme qui fume des Blends vis à côté de celui qui élève des chats
11) La personne qui élève des chevaux vit à côté du fumeur de Dunhills -
12) L'homme qui fume des Blue Masters boit de la bière
13) L'allemand fume des Prince
14) Le Norvégien vit à côté de la maison bleue -
15) L'homme qui fume des Blends a un voisin qui boit de l'eau
g réussi a trouvé non sans mal mais g fini par y arrivé. BONNE CHANCE a vous.
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une chanson
12/06/2005 03:00
UNE CHANSON
==>Qui vous rappelle une ex-copine: l'instan funébre de dark sanctuary
==>Qui vous rappelle un(e) ex ami(e): ...
==>Qui vous fait pleurer: aucune ne me fé pleuré mé "lamentation" de Chaostar me rend assé triste
==>Qui vous fait rire: "J'ai pa d'ami" une parodie de choun
==>Que vous écoutez le plus en ce moment: "Holy thunderforce" de Rhapsody
==>Qui vous fait réfléchir sur le monde: plusieur chansons de tryo
==>Qui en dit beaucoup sur vous: ...
==>Qui vous rapelle celle que vous aimez: ...
==>Que vous auriez aimé écrire: "Dead Boy's Poem" de Nightwish
==>Que vous ne voulez plus jamais entendre: "un monde parfai" l me soule tro
==>Que vous voudriez qu'on joue à vos funerailles: "Cry for the moon" de Epica
==>Que vous voulez entendre à votre mariage: je ne compte pa me marier
==>Qui fait que vos amis pensent a vous lorqu'il l'entendent: n'en c rien du tout
==>Que vous aimé mais qui vous rend nostalgique maintenant: "The Verve" de Bittersweet Symphony (c la BO de sexe intention)
==>Pour laquelle vous feriez n'importe quoi pour l'écouter en live: n'importe kel chanson de Cradle of Filth
==>Qui vous rapelle votre enfance: les générik de dessins animés: dbz, les chevaliers du zodiaque, etc...
==>Dont vous aimez les paroles: "Cet Enfer Au Paradis" de Dark Sanctuary
==>Avec laquelle vous aimez vous endormir: n'importe kel chanson de Nigthwish, Leaves'eyes, Dark Santuary et Rhapsody
==>Avec laquelle vous aimez vous réveillez: "Sweet Dreams" de Manson
==>Qui vous rapelle votre 1ère accrochage amoureux:...
==>Qui vous fait pensez à la solitude: L'Instant Funebre" de Dark sanctuary
==>Qui vous rapelle votre meilleur(e) ami(e):....
==>Que vous pouvez chantez parfaitement: "l'hymne de nos campagne" et "la main verte" de Tryo
==>Que vous fait pensez à une personne qui vous manque: ....
==>Dont vous aimez l'instrumental: alor la y en a plin
==>Sur laquelle vous aimeriez faire l'Amour: "Fantasmic" de Nigthwish
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Charles Baudelaire
11/06/2005 01:01
Charles Baudelaire a eu une enfance malheureuse, parsemée de multiples tourments. Un jour il dit ces paroles : « Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage Traversé çà et là par de brillants soleils... » Charles Pierre Baudelaire est né le 9 avril 1821, 13 rue Hautefeuille à Paris. Il était le fils de Joseph-François Baudelaire (1759-1827), peintre et ancien précepteur du duc Praslin, ancien chef de bureau du Sénat impérial, et de Caroline Archenbaut-Dufaÿs(1794-1871). Le 10 février 1827, son père meurt alors que Charles Baudelaire n’avait que 6 ans. En 1828, sa mère se remarie avec le commandant Aupick et Charles Baudelaire commença à le détester peu après le mariage de sa mère. Ce fut son premier désespoir et plus tard il dit cette phrase : "Quand on a un fils comme moi, on ne se remarie pas." En 1832, Charles Baudelaire devient élève au Collège royal de Lyon. Il y est mis en pension. En 1836, il rentre au Collège Louis-le-Grand à Paris pour y apprendre le droit. Il a de très brillants résultats scolaires et obtient le premier prix de dessin. C’est à ce moment qu’il a commencé à écrire ses premiers vers avec des camarades. Il commence à lire des auteurs comme Chateaubriand et Sainte-Beuve. En 1837, il obtient le deuxième prix de vers latins au Concours général. En 1838, lorsqu’il visita une galerie de peinture, il remarqua un tableau de Delacroix (La Bataille de Taillebourg) qui lui plus beaucoup. Les autres, il ne les aimait pas. C’est à ce moment-là que commença sa grande passion pour Delacroix. Il écrit, fin 1838, un de ces premiers poèmes qui a des accents lamartiniens suite au souvenir de son émerveillement devant le lac d’Escoubous, au-dessus de Barèges. Il a à ce moment-là une nouvelle raison de vivre. En 1839, il obtient son baccalauréat. À ce moment, son beau-père voulait que Charles soit ambassadeur mais celui-ci ne voulait pas. Il voulait absolument être poète. Plus tard dans l’année, il rentre dans une classe de philosophie dont il trouve les cours pas très intéressants. Pendant les cours, il préfère lire les livres de Lamartine, Hugo, Musset qu’un externe lui apporte de l’extérieur de l’école et le 18 avril, Charles est renvoyé du Lycée. En 1840, Baudelaire quitte le cocon familial et rencontre Édouard Ourliac, Gérard de Nerval et Honoré de Balzac. Il va créer avec plusieurs de ses camarades un petit groupe baptisé "École normande". Ils vont écrire des poèmes et des petites chansons. En 1841, pour tenter de dompter ce beau-fils indigne, son beau-père de général l’embarque en juin, sur le ""Paquebot des Mers du Sud" pour un long voyage vers les Indes, mais, pris de nostalgie, il revient au bout de dix mois sans être parvenu à destination : son voyage s’arrêtera finalement à l’île Maurice. Ce voyage pourtant éveille en lui l’amour de la mer et de l’exotisme qui vont enrichir son inspiration. Il gardera de ce voyage le souvenir de "la belle Dorothée". Plusieurs poèmes comme L’Albatros ou Parfum exotique ont certainement été inspirés par ce voyage. À son retour, il demande sa part de l’héritage paternel pour vivre comme il l’entend. Il devient un dandy parisien, dépensant des sommes indécentes pour ses tenues excentriques ou l’acquisition de coûteuses œuvres d’art, s’installe à l’Hôtel Pimodan, dans l’île Saint-Louis, se lie avec Jeanne Duval en 1842, une jeune mulâtresse qui restera sa compagne jusqu’à sa mort, en dépit des crises qui secouent leur liaison. Elle lui inspirera de nombreux poèmes, dont La Chevelure et Le Serpent qui danse. En 1844, sa famille, alarmée par les dépenses du jeune homme qui a alors 23 ans, lui impose un conseil judiciaire qui limite l’argent qu’il peut toucher régulièrement : désormais, il va vivre misérablement. Le 30 juin 1845, Baudelaire fait une tentative de suicide. La même année, Baudelaire a déjà composé quelques pièces des Fleurs du mal. Il aide les créateurs du Corsaire Satan à écrire de petits articles et vit du journalisme d’art. Baudelaire publie sa première plaquette, Le Salon de 1845. Il s’y révéle critique de génie. En 1847, La Fanfarlo paraît dans Le Bulletin de la société des gens et des lettres. Cette même année, Baudelaire découvre l’oeuvre d’Edgar Poe (écrivain américain, 1809-1849). Il rencontre Marie Daubrun, une actrice dont les yeux lui inspirent en particulier Le Poison et Ciel brouillé. En 1848, il participe aux émeutes parisiennes et s’enthousiasme pour la Révolution. Mais son engagement est de courte durée. Il revient à la littérature et commence à traduire les oeuvres d’Edgar Poe qu’il a trouvées intéressantes, travail qu’il continuera jusqu’en 1865. Il devient l’un des directeurs du Salut public. En 1849, il s’éloigne progressivement de la politique. Pour lui le vrai combat est dans la poésie. En 1850, premiers troubles causés par la syphilis. En 1851, il écrira onze poèmes qui prendront place plus tard dans Les Fleurs du mal. Il rencontre Edgar Poe qui meurt le même année. Il dénonce le coup d’état de Louis-Napoléon Bonaparte. Il publie Du vin et du haschisch. En 1852, rupture avec Jeanne Duval et début de sa passion pour Apollonie Sabatier. Il lui envoie anonymement le premier poème qu’il a écrit pour elle. Il en enverra jusqu’en février 1854. Il créera plusieurs poèmes pour elle. Début de sa liaison avec Marie Daubrun dont il s’inspirera pour faire des poèmes qui prendront place dans Les Fleurs du Mal. En 1852 et 1853, premières publications d’une étude sur Edgar Poe et de la traduction de ses textes. Vers 1855, Baudelaire s’était épris de Mme Sabatier qui lui inspira plusieurs poèmes dont les Limbres qui feront partie plus tard des Fleurs du Mal. En 1856, première édition des Histoires extraordinaires écrites en 1840 par Edgar Poe et traduites par Baudelaire. En 1857, mort du général Aupick. Le 25 juin, première édition des Fleurs du mal qui contiennent tous les poèmes écrits par Baudelaire depuis 1840 paraît chez Poulet-Malassis et de Broise. Le 20 août, Baudelaire est condamné par la 6e chambre correctionnelle à 300 francs d’amende pour l’immoralité de certains de ses poèmes. Le 30 août, Baudelaire et Madame Sabatier deviennent amants pour une nuit. Pour soulager ses violents maux de tête, Baudelaire utilise l’opium, comme son contemporain Thomas de Quincey, dont il analyse les Confessions d’un mangeur d’opium dans Les Paradis artificiels. En 1858, Charles Baudelaire se réconcilie avec sa mère. En 1859, Baudelaire va voir sa mère à Honfleur et y écrit plusieurs poésies. En 1860, Baudelaire est accablé de dettes et il publie les Paradis artificiels. En 1861, la deuxième édition des Fleurs du mal parait enrichie de trente-cinq pièces nouvelles. En septembre 1862, parution de vingt et un Petits poèmes en prose dans la presse. Le 1er février 1863, faillite des éditions Malassis. En avril, il fait également paraître un long article sur Richard Wagner. En 1864, miné par la maladie, abusant de la drogue et couvert de dettes, Baudelaire quitte Paris et va se fixer à Bruxelles où il va essayer de gagner un peu d’argent en participant à des conférences et où il va essayer de vendre ses oeuvres complètes à un éditeur. À cause de son amertume et sa déception, il va écrire un pamphlet d’une rare violence : Pauvre Belgique !. Sa santé devient de plus en plus mauvaise et a de plus en plus recours à la drogue. En 1866, les Nouvelles Fleurs du mal paraissent dans le Parnasse contemporain. Chute de Baudelaire sur les marches de l’église Saint-Loup à Namur. Cette crise violente abat Baudelaire qui ne retrouve plus l’usage normal de la parole. Il sera soigné quelque temps à Bruxelles et en juillet, on le ramène à Paris, sa ville natale car il est devenu aphasique et paralysé. Publication des Épaves qui regroupent principalement des oeuvres condamnées et des vers de circonstance. Le 31 août 1867, Baudelaire meurt après une longue agonie dans une maison de santé à Paris. Le 2 septembre, il est inhumé au cimetière Montparnasse. En 1868, parution des Curiosités esthétiques et de L’Art romantique, poèmes qu’il avait écrits avant sa mort. En 1869, parution des Petits poèmes en prose dont une partie fut déjà publiée dans la presse en 1862.
BIBLIOGRAPHIE Mystères galants des théâtres de Paris, 2 mars 1844. Privat d’Anglemont, 1844/1845. À une dame créole, 25 mai 1845, L’Artiste. Le salon de 1845, 1845. Don Juan eux Enfers, 1845, L’Artiste. A une Malabaraise, 1846, L’Artiste. Le Jeune enchanteur, février 1846, L’ Esprit public. Le salon de 1846, mai 1846. La Fanfarlo, 1ière édition, signé Charles Defayis, 1er janvier 1847, le Bulletin de la Société des Gens de lettres. Le vin de l’Assassin, novembre 1848, Echo des Marchands de vin. La Fanfarlo, 2ième édition, 1849, signé Charles Baudelaire, Veillées littéraires illustrées. Du vin et du haschich, 7, 8, 11 et 12 mars 1851, Le Messager de l’Assemblée. Les Limbes, 1851, Le Messager de l’Assemblée. Morale du joujou, 11 avril 1853, le Monde littéraire. L’exposition universelle, 1855. De l’essence du rire, juillet 1855, le Portefeuille. Les Fleurs du mal (1 ière édition), 25 juin 1857, édition Poulet-Malassis et de Broise. Le poème du haschisch, 1858. La lettre sur le salon de 1859, 1859, la Revue française. Les Paradis artificiels, 1860, édition Poulet-Malassis et de Broise. Les Fleurs du mal (2 ième édition), février 1861, édition Poulet-Malassis et de Broise. Richard Wagner, 1er avril 1861, Revue européenne. Richard Wagner et Tannhaüsser, 1861. Réflexions sur quelques-uns de mes contemporains, 1861. Petits poèmes en prose, novembre 1861, La Revue fantaisiste. Petits poèmes en prose, septembre 1862. Article nécrologique sur Eugène Delacroix, septembre et novembre 1863, L’Opinion nationale. Le Peintre de la vie moderne, 1863, Le Figaro. Petits poèmes en prose, février 1864, Le Figaro. Pauvre Belgique !, avril 1864. Le spleen de Paris, 1864. Exorde et notes pour les conférences données à Bruxelles, 1864. Les Épaves, février 1866. Les nouvelles fleurs du mal, 31 mars 1866, Parnasse contemporain. Oeuvres complètes de Charles Baudelaire, 1868/1870, Michel Lévy frères. L’Art romantique, 1869, Charles Asselineau.
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